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La circulation des nouvelles idées.

Je retiens

Fiche 4

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Le livre scolaire p122 ( le texte intégral)

 

Le livre imprimé, une révolution ?

Un nouveau média.

L’invention de l’imprimerie permet de reproduire les livres en un très grand nombre d’exemplaires, ce qui diminue leur prix.

 

Le livre devient un objet commercial et sa fabrication entraîne la naissance de nouveaux métiers : le  le Français Robert Estienne impriment des milliers de livres.

 

 

 

 

Arte

Pour les petits mais aussi pour les grands de seconde B

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La constitution de bibliothèques humanistes.

Plusieurs penseurs ou souverains se constituent des bibliothèques regroupant à la fois des manuscrits et des livres imprimés, qu’ils ouvrent à leurs amis et parfois à des cercles plus larges (doc. 2 p123).

 

Une rupture à relativiser.

 

Les premiers livres imprimés demeurent néanmoins essentiellement des ouvrages religieux : Bible, ouvrages théologiques (doc. 3).

 

Par ailleurs, l’imprimé reste cher et ne remplace pas immédiatement le manuscrit.

 

 

 

De nouveaux usages de l'écrit

Des livres plus pratiques.

 

La standardisation des livres imprimés permet de comparer plus facilement les textes entre eux : les livres deviennent des outils de recherche.

 

Les imprimeurs expérimentent de nouveaux formats : le livre de poche se développe, permettant un usage plus souple de l’écrit (doc. 3).

 

Le goût des nouvelles.

 

Les libraires impriment et vendent des comptes-rendus de batailles ou d’événements exceptionnels.

 

Peu à peu apparaissent des gazettes, publiées régulièrement : c’est la naissance de la presse écrite.

Ces supports accélèrent la circulation des nouvelles dans un espace européen davantage unifié.

 

Lire et écrire.

L’imprimerie nourrit une alphabétisation rapide de la population, mais celle-ci est en réalité entamée depuis le début du XIIIe siècle.

En outre, elle ne touche pas toute la population : dans certaines régions d’Angleterre, en 1590, 50 % des hommes vivant en ville savent signer de leur nom, mais seulement 6 % des femmes.

Celles-ci restent en effet largement exclues de l’éducation, surtout des études supérieures.

 

 

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